Vive nos hivers Québécois !!!

Ça fait changement des messages qu'on lisait sur ce forum au début de l'hiver.

HAHAHAH j'ai bien rie voyan sa colère augmanter pauvre francoi...xD!!

Jack a écrit:

Ça fait changement des messages qu'on lisait sur ce forum au début de l'hiver.

Il me semble me rappeler que tu avais fait une prévision dans ce genre quand le monde s'est mis à tripper sur la première neige...

Quand il fait soleil et que le skidoo marche... pas si pire l'hiver!
Aujourd'hui sur la rivière. le frérot et moi avons testé nos Alpines dans le bois.

Pendant ce temps Maggie se chauffait la couenne à la maison:

wow! belle photo.

Mais quand je regarde c'est vieux ski-doo, ça me fait penser à mon grand-père décédé. Lui, il avait jamais conduit autre chose que ses chevaux de travail. Donc un moment donné, mon père lui dit: essaye le ski-doo, le gaz est là, pis le break pour arrêter est là.

Mon grand père embarque sur le ski-doo et pèse sur le gaz .... vous auriez du le voir, il voyait les arbres arriver et il criait "wo! wo!" comme si c'était un cheval, et mon père qui courait en arrière du ski-doo et qui criai: lache le gaz, pis pèse sur le break, @#$#%@#$% c'est pas un cheval .........

Moi qui était pas vielle planté au beau milieu de la "trail" qui regardait toute cette scène... moi et ma mère nous avons tellement ri, et mon père lui était en beau taba....... et le grand père qui regardait le ski-doo tout brisé par l'arbre et qui disait: le ski-ddo voulait pas arrêter.

Une chance que dans le temps les ski-ddo allait pas vite, car ça aurai pu être très dangereux.

Des bons souvenir.

Ces machines sont faites pour le travail. Elles ont 2 ponts de large (chenilles). Hydro-Québec utilisait ce genre de machine dans les années 80-90. Les Alpines ne sont pas faites pour faire de la vitesse, 50-55 km en première. Les gens les utilisent pour faire leur bois de chauffage en hiver.

Pour aller chez Hélène je prendrai mon autre skidoo, un Skandic. l'Alpine est restée au chalet du frérot.

isabelle a écrit:

wow! belle photo.

Mais quand je regarde c'est vieux ski-doo, ça me fait penser à mon grand-père décédé. Lui, il avait jamais conduit autre chose que ses chevaux de travail. Donc un moment donné, mon père lui dit: essaye le ski-doo, le gaz est là, pis le break pour arrêter est là.

Mon grand père embarque sur le ski-doo et pèse sur le gaz .... vous auriez du le voir, il voyait les arbres arriver et il criait "wo! wo!" comme si c'était un cheval, et mon père qui courait en arrière du ski-doo et qui criai: lache le gaz, pis pèse sur le break, @#$#%@#$% c'est pas un cheval .........

Moi qui était pas vielle planté au beau milieu de la "trail" qui regardait toute cette scène... moi et ma mère nous avons tellement ri, et mon père lui était en beau taba....... et le grand père qui regardait le ski-doo tout brisé par l'arbre et qui disait: le ski-ddo voulait pas arrêter.

Une chance que dans le temps les ski-ddo allait pas vite, car ça aurai pu être très dangereux.

Des bons souvenir.

:LLOLL: :LLOLL: :LLOLL: Maudit que ça devait être drôle, je peux tellement imaginer ton grand-père chercher comment arrêter ce maudit cheval de ferraille fou ! J'ai vraiment ri de bon coeur en lisant ton récit.

Moi aussi mon grand-père paternel a pratiquement connu juste les chevaux. Quand les voitures sont devenues un peu plus communes (il vivait dans le bas du fleuve), il avait l'habitude de dire que ces voitures lui avaient volé le chemin. Quand j'allais à St-Jean Port-Joli voir mon grand-père, qui avait 80 ans quand je suis venue au monde soit dit en passant, le rituel habituel était d'aller dans sa grange avec lui, et il me racontait comment il s'occupait de ses bêtes, un cochon, une vache, et il finissait en me montrant le box de son cheval. L'étable était dorénavent vide, mais je sentais encore l'âme des animaux qui y avaient vécu. Parce que mon grand-père me le faisait sentir. Et il finissait toujours par me donner un objet relatif aux chevaux, sa grande passion, soit une image, une statuette, n'importe quoi qui avait rapport aux chevaux. Imaginez juste un instant la fillette que j'étais, partageant avec ce vieil homme la passion des bêtes. Il m'est arrivé de parler à mon grand-père là-haut :ANGEL: , quand je prenais soin de mes chevaux. J'ai entendu dire qu'il a été dur avec eux, car il dressait des chevaux sauvages capturés dans l'Ouest, et les revendait quand ils étaient dressés. C'était une passion pour lui. Et à l'époque, les chevaux étaient traités durement, c'était la façon de faire. Mais je ne lui en veut pas, il ne connaissait pas autre chose.

Jack a écrit:

Ces machines sont faites pour le travail. Elles ont 2 ponts de large (chenilles). Hydro-Québec utilisait ce genre de machine dans les années 80-90. Les Alpines ne sont pas faites pour faire de la vitesse, 50-55 km en première. Les gens les utilisent pour faire leur bois de chauffage en hiver.

Pour aller chez Hélène je prendrai mon autre skidoo, un Skandic. l'Alpine est restée au chalet du frérot.

Disons Jack que quand j'ai vu la photo, je me suis dit qu'on allait faire plus du sous-marin que du skidoo. Ça flotte ces machines-là ? :HIHIHI:

Et la belle Maggie a l'air aux anges, sur le divan, LOL! Bien chanceuse, moi je n'accorde pas ce privilège à Jayce. Elle est vraiment belle ta toutoune ! A-t-elle froid aux pieds l'hiver ? Elle doit être au moins aussi frileuse que Jayce, non ?

Isabelle et Hélène
C'est le fun de lire de belle histoire comme ça

Hélène, les grosse Alpine flottent sur la neige comme des bateaux sur l'eau. Elles ont deux chenilles de large, ça fait 30 pouces de large et non 15 pouces comme beaucoup de machines. Les chenilles ont aussi 139 pouces (longueur total) ce qui fait presque 6 pieds de portée. Le Skandic que je prendrai pour aller dans ta trail, a la même longueur de chenille mais seulement 16 1/2 po de large (et non 30 pouces) et il fera le travail alors imagine l'Alpine.

Pour Maggie, elle est très frileuse au repos. Quand elle se démène dehors derrière la maison ça va mais je ne l'amène pas dans le bois en hiver. Elle recherche le soleil. Elle est aussi comme ça dans le bateau l'été.