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| Sujet: La survie d’ANIMA-Québec : un enjeu électoral Mar 20 Mar 2007, 9:31 am | |
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La survie d’ANIMA-Québec : un enjeu électoral
ANIMA-QUÉBEC a été créée en mai 2002 à l’instigation du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), monsieur Maxime Arseneau, qui désirait réunir les partenaires soucieux de bien-être animal afin d’avoir une action unifiée sur l’ensemble du territoire québécois. ANIMA-Québec est l’acronyme de l’Association nationale d’intervention pour le mieux-être animal qui est organisme à but non lucratif voué à la sécurité et au bien-être des animaux et dont l’action consiste essentiellement en deux volets :
• éducation et information sur la sécurité et le bien-être des animaux, destiné au public et aux personnes responsables des animaux de compagnie; • application de la réglementation relative à la section sur la sécurité et le bien-être des animaux de la Loi sur la protection sanitaire des animaux.
Le premier mandat donné à ANIMA-Québec est de s’attaquer à la situation inacceptable qui sévit au niveau des élevages intensifs de chiens, connus sous le vocable d’usines à chiots et de faire respecter la section IV.I.I de la Loi sur la protection sanitaire des animaux (L.R.Q., c., P-42) qui concerne la sécurité et le bien-être des animaux. La santé et la sécurité des chiens sont gravement menacées dans ces usines à chiots et ces établissements représentent un danger important pour la santé publique.
Pour réussir ses objectifs, ANIMA-Québec a l’obligation de s’autofinancer; l’aide au démarrage de 150 000$ accordé par le Ministre lors de sa création en mai 2002 étant insuffisant à assurer son fonctionnement. Espérer qu’un tel organisme ait la capacité de s’autofinancer, surtout pour faire appliquer des lois, relève de l’utopie!
Dans les faits, les propriétaires d’animaux de compagnie au Québec dépensent chaque année plus de 600 millions de dollars pour leurs bêtes. Si le gouvernement n’utilisait que 1% des quelques 40 millions de dollars de TVQ qu’il fait sur le dos des animaux de compagnie lors de la vente de chiens, de chats, de nourriture, d’accessoires ou de services et produits vétérinaires, ce serait suffisant pour qu’ANIMA-Québec joue le rôle social qui doit être le sien sans avoir a dépenser toute son énergie en veine recherche de commanditaires.
Michel Pepin m.v.
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