Salut tout le monde,
Voici l'histoire de Rocky. Nous avons eu Rocky j'avais 5 ans. C'était supposé être le chien de mon père. Je dit supposé car ça vite devenue le chien de la famille et le protecteur de ma mère surtout. Mon père travaillant à l'hydro-Québec, alors une semaines à Baie-James et l'autre semaine à la maison avec nous. Alors Rocky est devenue le papa protecteur de nous tous quand mon père était pas là.
Par ce fait, ma mère à pris des cours d'attaque, d'obéisance et fait une compétion avec lui. Il est arriver premier au québec comme chien de garde (d'attaque) et d'obéisance. (d'en votre jargon, je ne sais pas comment ça s'appelle, car ça fait 25 ans de ça) Ma mère avait tout le contrôle quelle désirait sur lui, car il était très malin avec les étranger mais un vrai toutou avec nous.
Il nous a sauvé d'un feu dans notre maison, des voleurs, sauvé d'une noyade et d'un animal sauvage lors d'une fin de semaine dans le bois. Il était exceptionnel. Beaucoup de gens nous disent qu'un chien ne parle pas, désoler, je ne suis pas de cette avis. Ils ont un language corporel exceptionelle. Nous savons très bien ce qu'ils pensent et ce qu'ils veulent.
Bref, il faisait parti de la famille au même titre que tout le monde. Tellement que je croyait, que Rocky était pour ce changer en beau prince charmant quand j'aurai été plus grande et que l'on serai marié ensemble. Mais non, ça n'a pas été le cas. hihihihiihi Des idées de jeunes filles de 5 ans.
10 ans plus tard, un dimanche soir, lors de mes 15 ans, je jouait au carte avec ma mère et mon frère à la table dans la salle à manger. Mon père lui dormait sur le sofa comme à l'habitude après l'heure du souper dans le salon. Je mettait lever pendant que ma mère brassait les cartes , pour aller prendre un verre d'eau. Quand je suis revenu, Rocky était debout à côté de ma chaise la tête appui dessus. Habituellement, quand j'aurai arrivé près de lui, il saurai tassé sans rien dire et aller ce coucher sur son tapis près de la porte patio, mais non, il resta là sans bouger. Un sons de cloche sonna dans ma tête et je lui dit doucement et avec mon genous, je lui toucha la cuisse pour lui montrer que je lui demandais de ce tasser de la. Il tomba par terre et ce mis à "chêquer" de tout son corps comme une crise d'épilepsie. Je me mis à crier, papa réveille toi, maman Rocky ne va pas bien, vite dépêcher vous. La panique général dans la maison, moi et mon frère on criait, pleurait, mon père et ma mère à genous devant Rocky pour le protéger pour qu'il ne ce blesse pas sur la table. Quand les secousse de Rocky à été terminer, il ne bougait plus mais respirait et nous regardait avec ses grand yeux toute piteu. Ma mère c'est assis avec Rocky sur son tapis, Rocky coucher sur c'est genous et pleurait en essayant de réconforter Rocky. Mon père stresser comme je l'avait jamais vue, nous avaient dit à mon frère et moi de ce l'affermer qu'il avait pas besoin de nous entendre comme ça. Pauvre lui, il ne sais jamais rendu compte de ce qu'il venait de nous dire et le ton qu'il avit pris. Le stress.
Mon père réussi à trouver le numéro du vétérinaire chez lui, mais ça ne répondait pas. Mon père à du téléphone au demi-heure avant d'avoir une réponse vers 11h00 du soir. Le vétérinaire était à son chalet cette fin de semaine là. Mais bon, il nous dit, qu'il avait rien à faire pour l'instant, mais qu'il voulait le voir sans faute le lendemain matin à 8h00. Soit le lundi.
Pendant ce temps, ma mère et mon père à du ce relayer toute la nuit pour rester avec Rocky. Pour c'est besoin, ma mère et mon père devait l'apporter dans leur bras dehors et le déposer par terre coucher pour qu'il puisse faire ses besoins. Même chose pour le boir et le manger. Il n'était plus capable de ce tenir sur ses pattes. Il était paralliser. La nuit à été très longue pour tout le monde.
Le lendemain, mon père était à la clinique avec Rocky à 7h30 pour être sur de passer. Le vétérinaire lui mentionna, que Rocky avait fait une crise de coeur du surement à des tumeurs qui avait à la grandeur du corps à l'intérieur de lui. Pour en être sur il devait monter à Val d'or pour passer des radiographies, un scaner ou autre. Mais le vétérinaire lui conseilla de ne pas faire le trajet, car il ne survivra surement pas assez longtemps pour ce rendre, et que si il réussi à faire le trajet, il ne pourrait pas le sauver et que ça couterai une fortune. Les pattes de devant et de derrière était morte, ils étaient froid, inerte et aucune sensibilité ressenti par Rocky. Bref, il était entrein de mourrir à petit feu. Mon père décida de mettre fin à c'est souffrance.
Tout juste avant de partir pour l'école le même matin(examen de fin d'année du ministère au mois de juin) mon père arriva et je lui demandait où était Rocky et s'il allait bien. Il m'a fait un signe de tête que non et savait pencher la tête et entra dans la maison me laissant seule sur le perron. Je suis partie en courrant chez mon amie en pleurant car je savait que c'était la fin de Rocky.
Ce que j'ai su plus tard, c'est que Rocky était dans la boîte du truck au moment où je partait pour l'école. Mais je l'avais pas vue. Mon père avait été l'enterrer dans le bois, comme ma mère lui avait demander. Mon père a dit que c'était la chose la plus horrible qui a du faire dans toute ça vie. Que plus jamais il ferra une chose comme ça. Une semaine plus tard, mon père retourna voir Rocky sur ça tombe, et il l'a vue à moitié manger par les animaux sauvage. Mon père aura toute sa vie l'image épouventable de notre amour gravé dans sa mémoir. Il ne sais jamais pardonner d'avoir enterrer Rocky dans les bois pour qu'ensuite il ce fasse manger.
Ça fait 15 ans de cette événement et même encore aujourd'hui en vous écrivant ceci, je pleure encore. Je rêve encore souvent le soir quand je fait dodo, de voir Rocky arriver chez moi en lui demandent ou il était.
C'est pour cette raison que ça fait 15 ans que je n'ai pas eu de chien, et que mon chum ça fait 9 1/2 ans qui me demande d'en avoir un. Comme vous savez, j'ai céder la semaine passer et nous avons acceuilli un p'ti nouveau parmis nous.
Pour être franche avec vous, ce que je n'aime pas des chiens, c'est que l'on s'attache beaucoup trop à eu. Ils sont si extraordinaire, que quand il parte, nous souffrons énormément. C'est pour cette raison que j'ai jamais voulu avoir un autre chien de peur de souffrir encore une fois.
Maintenant, que j'ai Polo, je suis bein contente, mais je n'oublirais jamais mon prince charmant.
Isabelle